Vous allez découvrir sur ce site un roman-feuilleton intitulé « Les Doryphores ». La frilosité des quelques éditeurs contactés et/ou la piètre qualité littéraire du texte en sont la cause. À vous de juger, sachant que mon travail n’a d’autre ambition que de vous divertir… après m’être diverti moi-même. Car j’écris essentiellement pour me raconter les histoires que j’aimerais lire dans les romans des auteurs actuels.
Il est logique dès lors de vous présenter mon bébé, mais comment recommander une création qui ne répond pas tout à fait aux normes académiques courantes ? Mon univers est pataphysique, surréaliste et définitivement antigravitationnel. Mon enfant peut donc avoir une jambe plus longue que l’autre sans que cela ne trahisse une faute de goût. L’important est qu’il y trouve son compte, en le destinant à l’inspection des trottoirs et rigoles par exemple. Dans le langage commun, on trouvera commode de ranger mon travail dans les contes absurdes. Il n’y a pourtant rien d’absurde en ‘Pataphysique, simplement une recherche constante des solutions imaginaires qui en valent bien d’autres plus ordinaires, selon le principe toujours pataphysique d’Équivalence. Sinon, une histoire d’amour reste une histoire d’amour et un gangster reste un gangster même s’il est en même temps généticien. Il y a de ça dans mon roman, et aussi un héros muet, un village pas trop sympa avec les touristes, un chien jaune, un curé de choc et quelques jolies filles. Rajoutons une bonne dose d’influence Vianesque et tout sera dit.
Je sollicite votre attention, cher lecteur, mais aussi votre réaction. Le verdict, quel qu’il soit, me sera bénéfique. N’hésitez pas à me contacter, me corriger, me critiquer…
En espérant faire un bout de chemin ensemble, voici ouvertes les portes de mon imaginaire.